À quelques pas du centre d’Alquines, le vivier est désormais un havre de paix au bord de la rivière. On y a installé une aire de repos, deux tables de pique-nique. L’idéal pour se poser.
Le vivier désormais, c’est comme un petit coin de paradis retrouvé après les travaux du printemps. À quelques pas du centre, de l’église et des commerces, c’est un havre de paix au bord de l’Alquines, qui coule paisiblement, limpide, peu abondante en ces temps de canicule. La source ne tarit pas mais l’évaporation est importante. Les canards ont déserté la place et les élus en sont satisfaits.
Car, la volonté première dans cet aménagement, c’était la préservation de l’eau, celle de la source autant que de la Hem dont l’Alquines est un affluent. D’où ces plantes aquatiques qui assainissent la ressource et agrémentent le décor.
L’esthétique est apparue tout aussi essentielle dans ce bourg en pleine expansion. Ainsi une aire de repos a-t-elle aménagé sur la pelouse avec deux tables pour le pique-nique. Bien entendu, l’ombre est rare encore car le chêne pédonculé et les bosquets sont en pleine croissance. Sans doute fera-t-il bon se poser ici à l’arrière-saison pour échanger ou lire.
C’est un trou de verdure, dit le poète, où chante une rivière et où s’exprime la volonté d’une équipe communale d’accentuer les attraits de la vie rurale.